**Donner ce que nous pouvons : Pionnier du mouvement de l’altruisme efficace**

**Giving What We Can: Pioneering the Movement of Effective Altruism**

Dans une époque où les actions individuelles peuvent avoir des impacts globaux profonds, le site Giving What We Can (GWWC) émerge comme un phare pour l’altruisme efficace, visant à exploiter le pouvoir du don caritatif pour atténuer la souffrance dans le monde. Fondé en 2009 par un groupe de philosophes et d’économistes, y compris des figures de proue du mouvement d’altruisme efficace, GWWC encourage les individus à s’engager à donner une partie significative de leurs revenus—typiquement 10%—aux œuvres caritatives les plus efficaces.

GWWC fournit une plateforme pour les individus désireux de faire une différence mais qui peuvent se sentir accablés par la pléthore de causes et d’organisations cherchant du soutien. En se concentrant sur des approches basées sur des preuves en philanthropie, GWWC aide les donateurs à identifier des œuvres caritatives qui ont démontré un impact mesurable dans la réduction de la pauvreté, l’amélioration de la santé et l’agissement sur des défis mondiaux comme le changement climatique.

La mission de l’organisation est simple mais profonde : inspirer les gens à donner plus efficacement aux œuvres caritatives et à réfléchir de manière critique aux implications morales de leurs contributions financières. À travers sa plateforme en ligne, GWWC propose plusieurs ressources, y compris une sélection d’œuvres caritatives recommandées vérifiées pour leur efficacité. Ces œuvres se concentrent sur divers enjeux mondiaux, de la lutte contre le paludisme par la distribution de moustiquaires à l’aide aux familles vivant dans l’extrême pauvreté par des transferts d’argent.

Les engagements pris par les membres signifient non seulement un engagement envers le don, mais aussi un appel à sensibiliser sur la responsabilité qui accompagne la richesse et le privilège. Les membres de GWWC viennent de divers horizons—étudiants, professionnels et retraités—qui partagent un objectif commun : prioriser leur don caritatif de manière à maximiser le bien-être humain.

Un aspect convaincant de l’approche de GWWC est son accent sur la transparence et la responsabilité. L’organisation met régulièrement à jour ses membres sur l’impact de leurs dons, célébrant des jalons et veillant à ce que les soutiens puissent voir comment leurs contributions se traduisent par un changement réel dans le monde. Une telle transparence favorise la confiance et encourage les gens à s’engager plus profondément avec les causes qu’ils soutiennent.

Alors que de plus en plus d’individus rejoignent le mouvement, GWWC favorise également une communauté de donateurs partageant les mêmes idées, qui échangent des perspectives et des expériences sur leurs parcours altruistes. Le site propose des forums et des événements, permettant aux membres de discuter des stratégies de don efficaces et de se motiver mutuellement dans leurs engagements.

Le mouvement d’altruisme efficace, avec GWWC à sa tête, gagne en traction à l’échelle mondiale, en particulier parmi les jeunes générations désireuses de s’attaquer aux problèmes sociétaux pressants. Les recherches suggèrent que les millennials et la Génération Z sont plus susceptibles de rechercher un engagement significatif avec des organisations caritatives, préférant souvent soutenir des initiatives qui promettent des résultats tangibles. GWWC résonne avec cette éthique en soulignant l’efficacité dans la philanthropie et en exhortant les autres à considérer comment ils peuvent utiliser leurs ressources financières pour créer l’impact positif le plus significatif possible.

Alors que le monde fait face à des défis complexes, la mission de Giving What We Can est plus pertinente que jamais. En favorisant une culture du don efficace, GWWC non seulement habilite les individus à contribuer à des causes significatives, mais redéfinit également le paysage de la philanthropie, encourageant chacun à se poser une question simple mais profonde : « Comment mon don peut-il avoir le plus grand impact ? »